samedi 21 février 2009

Découverte d'un gène fondamental au vieillissement du cerveau

Pourra-t-on un jour freiner le vieillissement du cerveau et ainsi prévenir des maladies comme l'Alzheimer et le Parkinson ? Oui, à la condition d'établir la programmation génétique lié à la dégénérescence des neurones. Selon une étude publiée dans The Journal of Neuroscience, une équipe de chercheurs de l'Université de Montréal, de l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont et du Lawrence Berkeley National Laboratory a effectué un pas de géant dans cette direction en identifiant le gène qui contrôle le vieillissement normal et pathologique des neurones du système nerveux central.

Le premier facteur de risque des maladies comme la dégénérescence maculaire, le Parkinson et l'Alzheimer est l'âge. Bien que plusieurs chercheurs essaient de mieux comprendre la génétique et la pathophysiologie de ces maladies, peu d'études se sont attaquées aux mécanismes moléculaires de base contrôlant le vieillissement neuronal.

Le Dr Gilbert Bernier, de l'Université de Montréal et de l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont, a dirigé l'équipe qui a identifié une mutation chez la souris qui récapitule de façon hyper accélérée le vieillissement du système nerveux central et de l'œil. Les résultats démontrent que le gène Bmi1 est requis dans les neurones de la rétine et du cortex cérébral pour prévenir l'activation de la voie p53 et l'accumulation de radicaux libres.

« En somme, il est maintenant établi que le gène Bmi1 est un régulateur direct du vieillissement cellulaire dans les neurones du cerveau et de la rétine des mammifères via son action sur les mécanismes de défense contre les radicaux libres », indique le Dr Bernier.

source : .informationhospitaliere

lundi 16 février 2009

Qu’est ce qu’ un hygroma ?

Il s’agit de l’apparition en arrière du coude, d’une tuméfaction ronde qui correspond au gonflement d’une bourse habituellement vide. Cette bourse séreuse est une cavité close qui facilite le glissement de la peau sur l’os lors de la flexion du coude. Cette poche peut s’enflammer, les parois fabriquent alors du liquide synovial et la tuméfaction apparaît : on parle d’hygroma ou de bursite.

Cette inflammation est souvent due à de petits traumatismes répétés, l’hygroma touche alors des sujets plutôt masculins dont l’âge moyen est de 35 ans. Un rhumatisme peut également être à l’origine (polyarthrite…), une pathologie à microcristaux comme la goutte ou une infection virale.
Enfin une cause toujours à éliminer est l’infection qui débute souvent à partir d’une petite lésion cutanée.

Quels sont les signes de l’hygroma ?

La tuméfaction apparaît relativement rapidement et sa taille est variable, elle peut mesurer jusqu’à 10 cm. Il s’agit d’une poche bien mobile, non adhérente, peu douloureuse sauf à la pression appuyée. Le coude est bien mobile et non douloureux.
Lorsque cette tuméfaction est rouge, chaude, douloureuse avec une lésion cutanée en regard et des ganglions, nous sommes en présence d’une bursite infectée.

Quels sont les examens nécessaires ?

Le seul examen utile est une radiographie, le diagnostic est essentiellement clinique. La radiographie permet parfois de voir une “épine olécranienne“, saillie osseuse en arrière de l’olécrane responsable d’une irritation chronique.
Lorsqu’il existe un doute sur une bursite infectieuse, une prise de sang est faite pour confirmer qu’il existe un syndrome inflammatoire. La ponction à la recherche d’un germe dans ce contexte peut-être utile avant de débuter un traitement antibiotique.


Epine olécranienne

Quelles sont les possibilités de traitement ?

  • Devant un hygroma les traitements sont nombreux mais peuvent être hiérarchisés de la façon suivante :
    arrêt des mouvements répétés ou des microtraumatismes
    poche de glace quelques minutes par jours en alternance avec des pansements alcoolisés légèrement compressifs
    prise d’anti-inflammatoires par voie orale
    immobilisation du coude en extension quelques jours
    intervention chirurgicale
    La chirurgie est rarement nécessaire, elle est réservée aux formes rebelles aux autres traitements. La bourse est excisée par voie postérieure et une attelle est mise en place quelques jours pour diminuer le risque de récidives.
    La ponction évacuatrice est souvent vouée à l’échec, l’hygroma se reforme aussitôt et les infiltrations de cortisone transforment parfois l’hygroma en bursite infectée.
  • Devant une bursite infectée, au stade débutant une traitement antibiotique peut-être débuté après prélèvements bactériologiques. Mais le recours à la chirurgie doit être rapide devant l’absence d’amélioration en quelques jours.

Quelles sont les complications possibles ?

  • Les complications génériques de la chirurgie :
    Infection, désunion cutanée, raideur post opératoire et algodystrophie n’ont rien d’original
  • Les complications spécifiques
    Elles sont liées essentiellement à deux risques :
    le risque infectieux, soit après la simple ponction soit même après la chirurgie et surtout si cette bursite a été « bricolée » avant l’acte chirurgical.
    Les complications cutanées car la peau est inflammatoire et le risque de nécrose locale n’est pas rare en particulier chez les patients fumeurs.

vendredi 13 février 2009

Comment prendre soin de la peau sensible

Votre « peau est sensible », mais qu'est-ce que ça signifie, au juste? Que pouvez-vous faire pour en prendre soin ?.

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L'apparence et la sensation de la peau sensible

Les personnes ayant la peau sensible ont une peau qui s'irrite facilement. Elle réagit souvent à une exposition à un élément déclencheur comme ce qui suit : un produit de soins de la peau qui contient des parfums ou des colorants, un déséquilibre de la barrière hydratante naturelle de la peau, des facteurs génétiques, des irritants ou des conditions climatiques. Pourtant, la peau sensible peut réagir sans raison apparente. Les symptômes d'une peau sensible sont notamment les brûlures, les démangeaisons, les picotements, les éruptions cutanées, les rougeurs, ainsi qu'une peau sèche, desquamée, irritée ou tendue.

Les causes

L
a peau sensible se manifeste souvent à cause de produits de beauté ou de soins de la peau qui contiennent des ingrédients allergènes ou irritants, comme les colorants et les parfums. Les produits hypoallergéniques sont spécialement formulés pour minimiser les ingrédients qui peuvent causer une réaction allergique. Les conditions climatiques changeantes, le stress et la pollution sont d'autres éléments de la peau sensible. Il faut donc se montrer prudent, surveiller les éléments déclencheurs et les éviter si possible.

Avez-vous la peau sensible? Répondez à ce test de 30 secondes pour le savoir

1. Avez-vous déjà développé une éruption cutanée après avoir utilisé un produit de beauté sur votre peau?

2. Les changements climatiques irritent-ils votre peau?

3. Le stress joue-t-il un rôle dans l'apparence et la sensation de votre peau?

4. Votre peau réagit-elle négativement aux produits qui contiennent des parfums, des colorants et d'autres irritants?

5. L'exfoliation cause-t-elle une irritation excessive de votre peau?

6. Votre peau est-elle tendue ou irritée?

7. Souffrez-vous de peau très sèche ou desquamée?

8. Votre peau brûle-t-elle facilement au soleil?

9. Votre peau vous démange-t-elle sans raison apparente?

10. Avez-vous déjà consulté un dermatologue?

Si vous avez répondu «oui» à quatre questions ou plus, vous avez peut-être la peau sensible. Parlez à votre dermatologue du choix des produits appropriés pour votre peau.

source : femmezoom.

vendredi 6 février 2009

Baleines et dauphins menacés par la pollution sonore

Allez, une petite entorse sur ce blog 'santé' pour aborder aussi le monde animal.


L’activité humaine impacte l’environnement. Ce sont désormais les baleines et les dauphins qui sont menacés par la pollution sonore croissante. Selon plusieurs associations de protection de la nature, c’est la hausse du trafic maritime, des études sismiques, et d’une nouvelle génération de sonar militaire qui nuiraient aux baleines et dauphins, animaux qui utilisent les sons, parfois sur de grandes distances, pour communiquer, trouver de la nourriture et s’accoupler.
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C’est la première conclusion du la conférence de Rome du Programme des Nations Unies pour l’environnement et les espèces migratoires.
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Les associations appellent désormais Etats et armateurs à utiliser des moteurs de bateaux silencieux.

A moins d’une réduction des émissions de gaz à effet de serre, les niveaux d’acidité des mers et des océans pourraient atteindre d’ici à 2050 un niveau tel que le bruit des navires et des canons sismiques voyagerait 70% plus loin qu’auparavant.
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source : viatolosa

lundi 2 février 2009

Qu’arrive-t-il lorsque nous dormons ?

Le manque de sommeil est un sujet courant de doléances, mais pour de nombreuses personnes, s’endormir involontairement durant le jour pose un problème très réel et dangereux.
Fait intéressant, une nouvelle étude de l’Institut neurologique de Montréal (INM) de l’Université McGill montre que les états de veille-sommeil sont régulés par deux types différents de cellules nerveuses (neurones) : des neurones producteurs de l’hormone de mélano-concentration (MCH) et des neurones producteurs d’orexine (Orx), qui occupent la même région du cerveau, mais qui remplissent des fonctions opposées.

L’étude de l’INM est la première à découvrir que les neurones producteurs de la MCH sont activés durant le sommeil et pourraient donc être importants dans la régulation de l’état de sommeil. L’étude, publiée dans le numéro de cette semaine de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), permet de mieux comprendre le cycle de veille-sommeil et l’origine de troubles du sommeil comme la narcolepsie et peut-être d’autres maladies comme la dépression et la maladie de Parkinson.

Le sommeil est régulé par des processus dans le cerveau en réaction à la durée de notre état de veille ainsi qu’au cycle lumière-obscurité que le rythme circadien contrôle. De concert avec la Dre Oum Hassani et Maan Gee Lee, Ph. D., la Pre Barbara Jones de l’INM étudiait une structure du cerveau appelée l’hypothalamus latéral (HL) dont on connaît l’importance dans le maintien de l’état de veille. Les neurones producteurs de la MCH, codistribués avec les neurones producteurs d’Orx, constituent moins de 10 % de l’HL. Des études antérieures ont montré que les neurones producteurs d’Orx sont essentiels pour maintenir l’état de veille.

Ces neurones sont actifs dans l’état de veille et se désactivent durant le sommeil. En leur absence, les animaux et les humains souffrent de narcolepsie et de cataplexie, une perte soudaine de tonus musculaire. Pourtant, le rôle des neurones producteurs de la MCH était jusqu’ici imprécis. Selon les données d’études antérieures sur des animaux knock-out, les neurones producteurs de la MCH pourraient jouer un rôle différent des neurones producteurs d’Orx dans la régulation des états d’activité et de veille-sommeil. Voilà pourquoi l’équipe de l’INM a mené des expériences pour étudier la fonction des neurones producteurs de la MCH durant les états de veille-sommeil.

« Singulièrement, nous avons découvert que les neurones producteurs de la MCH sont en fait silencieux durant l’état de veille, ce qui est surprenant en particulier dans cette région du cerveau qui favorise l’éveil. Les neurones s’activent durant le sommeil et davantage pendant le sommeil paradoxal », a expliqué la Pre Barbara Jones, neuroscientifique à l’INM et chercheuse principale de l’étude. « Nos travaux montrent nettement que les neurones producteurs de la MCH déchargent de manière réciproque aux neurones producteurs d’Orx pendant le cycle veille-sommeil. » La Pre Jones et
ses collègues ont employé leur expertise pour appliquer et développer une technique difficile qui leur permettait d’enregistrer sélectivement, d’étiqueter et ainsi d’identifier une cellule nerveuse contenant un produit chimique particulier. Ils ont ainsi pu isoler les fonctions des cellules productrices de la MCH et d’Orx, même si elles comptent pour moins de 10 % des cellules nerveuses de l’HL.

Les profils et rôles réciproques des neurones producteurs d’Orx et de la MCH pourraient être importants dans la manifestation de troubles du sommeil. Il est possible que la narcolepsie, qui survient lors de la perte de neurones producteurs d’Orx, soit engendrée en partie par les neurones producteurs de la MCH qui restent intacts chez les patients narcoleptiques. Un nombre grandissant de recherches montre qu’un sommeil régulier et normal est nécessaire à la santé globale, à la régulation des niveaux d’hormone, à la pression sanguine, au métabolisme, à la vivacité d’esprit, à l’humeur, et à la consolidation de la mémoire.

Cette étude offre des avenues et des cibles thérapeutiques potentielles pour le traitement de divers troubles du sommeil, notamment la mise au point de médicaments qui agiront sur les récepteurs de l’Orx et de la MCH, afin de stimuler ou de bloquer ces récepteurs en conséquence.

source : .informationhospitaliere

dimanche 1 février 2009

Quelle est la cause des hémorroïdes ?


Qu'est-ce que les hémorroïdes ?

Les hémorroïdes sont des dilatations des veines de l'anus ou du rectum. L'endroit où elles se situent détermine le type d'hémorroïdes dont vous souffrez. Les hémorroïdes internes sont situées dans le rectum. Elles ne sont pas douloureuses parce que vous ne pouvez pas sentir la douleur dans le rectum. Vous pouvez toutefois avoir des saignements ou l'impression que le rectum est plein comme si vous aviez besoin de faire une selle.

Il arrive parfois qu'une hémorroïde interne puisse se dilater au point de sortir par l'anus. C'est ce qu'on appelle un prolapsus hémorroïdaire ou une hémorroïde prolabée. Si cela se produit, vous pouvez sentir un pincement ou palper une masse non douloureuse lorsque vous vous essuyez après une selle. Cette hémorroïde remontera d'elle-même dans le rectum, sinon repoussez-la doucement à l'intérieur.

Les hémorroïdes prolabées peuvent parfois devenir douloureuses ou provoquer une démangeaison s'il se forme un caillot de sang. Il se peut alors que vous palpiez une masse douloureuse au pourtour de l'anus. Les hémorroïdes peuvent se fissurer et saigner; vous verrez alors du sang rouge clair sur le papier lorsque vous vous essuyez ou même dans la toilette après votre selle.

Les veines situées sous la peau qui entoure l'anus peuvent également se dilater; ce sont les hémorroïdes externes. Les efforts pour aller à la selle et le frottement peuvent les fissurer et les faire saigner. Les hémorroïdes externes peuvent causer des démangeaisons et de la douleur, surtout s'il se forme un caillot de sang.

Quelle est la cause des hémorroïdes ?

Les efforts déployés pour faire une selle sont l'une des causes principales des hémorroïdes. Cette situation se présente lorsque vous êtes constipé ou que vous faites une diarrhée. La même chose peut se produire si vous demeurez assis trop longtemps sur le siège de toilette. Cette position relâche les muscles de l'anus. Les veines de l'anus se remplissent alors de sang, ce qui augmente la pression dans les veines.

La plupart des gens ont des hémorroïdes à un moment ou l'autre. Certains éléments peuvent vous rendre plus vulnérable. Les individus dont les parents souffraient d'hémorroïdes sont plus susceptibles d'en avoir. Les femmes enceintes souffrent souvent d'hémorroïdes à cause du poids lié à la grossesse et des efforts de l'accouchement. L'obésité, le fait de demeurer debout trop longtemps ou de soulever des objets lourds peuvent aggraver les hémorroïdes.

Devrais-je consulter mon médecin ?

Consultez votre médecin si vous voyez du sang. Il s'assurera qu'il s'agit bien d'hémorroïdes et non pas d'une colite, d'un cancer ou d'une autre maladie. L'examen clinique permet à votre médecin de poser un diagnostic d'hémorroïdes. Parfois, il vous proposera une anuscopie ou un autre test. L'anuscopie est un examen qui permet à votre médecin de voir l'intérieur de l'anus à l'aide d'un tube lumineux introduit dans l'anus.

Que puis-je faire pour mes hémorroïdes ?

Généralement, les hémorroïdes sont un problème passager. La constipation est l'une des principales causes des hémorroïdes.

Prévention de la constipation

· Augmentez la quantité de fibres dans votre alimentation. Les fibres ramollissent les selles. Les fruits frais, les légumes feuillus, les céréales et les pains de grains entiers sont d'excellentes sources de fibres.

· Évitez les aliments faibles en fibres, p. ex. crème glacée, fromages, pain blanc et viandes.

· Buvez beaucoup de liquides (excepté l'alcool). Idéalement, buvez huit verres d'eau par jour.

· Faites de l'exercice régulièrement.

· Il peut s'avérer utile de prendre des laxatifs qui augmentent le volume des selles, p. ex. le son, le psyllium (par exemple Metamucil, Fibrepur, Novo-Mucilax, Prodiem (nature)) et autres (Fibyrax).

· L'usage des laxatifs doit être occasionnel sauf s'ils augmentent le volume des selles.

· Si vous éprouvez le besoin de faire une selle, n'attendez pas trop longtemps. Plus vous attendez, plus votre selle devient dure et sèche.

Dans l'intervalle, les conseils listés à la page suivante pourront vous soulager. Même si les magasins offrent de nombreux médicaments contre les hémorroïdes, certains n'ont pas démontré leur efficacité et d'autres peuvent même être nuisibles si vous en abusez. Consultez votre médecin de famille pour savoir lesquels vous seront utiles.

Pour soulager la douleur

· Prenez des bains de siège à l'eau tiède trois ou quatre fois par jour.

· Nettoyez l'anus après chaque selle en épongeant doucement avec un papier de toilette humide ou une débarbouillette jetable (par exemple Tucks). Se rincer sous la douche peut également aider. Épongez mais ne frottez pas l'anus pour le nettoyer.

· L'application de sacs de glace diminuera l'enflure.

· L'acétaminophène (par exemple Panadol, Tylenol), l'ibuprofène (par exemple Advil, Medipren, Motrin) et l'aspirine sont efficaces pour soulager la douleur.

· Appliquez une crème qui contient de l'hamamélis ou un onguent anesthésique. On peut utiliser des crèmes qui contiennent de l'hydrocortisone contre la démangeaison ou la douleur.

· Si la douleur est trop forte, allongez-vous et restez au lit une journée complète.

· Évitez de lever des objets lourds et les efforts intenses.

Aurai-je besoin de chirurgie?

La plupart des hémorroïdes guérissent d'elles-mêmes en moins d'une semaine ou deux. Elles auront tendance à réapparaître si vous ne faites pas ce qu'il faut pour les prévenir. Lorsque les problèmes persistent, consultez votre médecin pour connaître les solutions possibles.

On peut détruire les hémorroïdes internes par sclérothérapie (injection d'un produit chimique), par coagulation à l'infra-rouge ou par électrocoagulation (qui les brûle). La ligature élastique est également utilisée pour traiter les hémorroïdes internes. Elle consiste à installer un petit élastique à la base de l'hémorroïde, ce qui coupe la circulation sanguine dans cette zone et détruit les hémorroïdes. Lorsque les hémorroïdes internes sont très grosses ou prolabées, il peut s'avérer nécessaire de procéder à une hémorroïdectomie (intervention chirurgicale qui consiste à enlever les hémorroïdes).

On peut traiter les hémorroïdes externes douloureuses qui contiennent des caillots de sang en enlevant ces caillots par une petite intervention qui réussit bien lorsqu'on la pratique dans les 24 heures suivant la formation du caillot et le début de la douleur.

.source : .cfpc.ca